Coupe du monde féminine 2025 : l'Angleterre sacrée à Twickenham, la France au pied du podium

L'Angleterre sacrée championne du monde à Twickenham

L'Angleterre a dominé le Canada en finale (33-13) pour s'offrir le titre de championne du monde 2025 à Twickenham, devant 81 885 spectateurs. Ce troisième sacre (après 1994 et 2014) confirme la suprématie des Red Roses, invaincues depuis 2022, et s’inscrit dans une dynamique historique portée par un public record pour un match de rugby féminin.

Un succès net qui consacre une domination durable

La victoire acquise face au Canada valide la continuité d’un collectif installé au sommet du rugby mondial. Solides, pragmatiques et constantes, les Anglaises ont signé un succès maîtrisé, emblématique de leur régularité au plus haut niveau depuis plusieurs saisons.

Le Canada confirme son statut de prétendant

Finalistes malheureuses, les Canadiennes repartent avec l’assurance d’avoir franchi un cap. Leur présence en finale illustre une progression constante et un potentiel réel au contact du gratin mondial. Malgré l’écart au score, elles ont su maintenir l’intensité et l’ambition jusqu’au bout.

Twickenham, théâtre d’un record d’affluence

Avec 81 885 spectateurs, la finale a établi une affluence record pour le rugby féminin. Une étape hautement symbolique pour la discipline, qui confirme l’attrait croissant du public et la capacité des grandes enceintes à se remplir pour les rendez-vous majeurs.

La France au pied du podium

Battues lors de la petite finale par la Nouvelle-Zélande, les Bleues terminent à la quatrième place. Un dénouement frustrant pour une équipe restée longtemps en course pour une médaille, mais qui a su afficher des bases solides et un état d’esprit à la hauteur de l’événement.

Un titre qui façonne la suite

Pour l’Angleterre, ce troisième trophée mondial scelle une ère et installe un horizon ambitieux pour les prochaines échéances internationales. L’impact de cette victoire dépasse le strict cadre sportif, avec une traction médiatique et populaire qui dope l’ensemble de l’écosystème du rugby féminin.

Perspectives

Alors que le rideau tombe sur l’édition 2025, la hiérarchie se dessine nettement, mais la concurrence s’affûte. Angleterre, Canada, Nouvelle-Zélande et France se projettent déjà vers la suite avec, en ligne de mire, la consolidation des acquis et la poursuite d’un développement accéléré de la discipline.

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